Viol – Un père furieux affirme que l’école a couvert le viol de sa fille dans les toilettes ; l’élève transgenre avait déjà eu un autre incident
Un père de famille de Virginie, qui est devenu viral après avoir été traîné hors d’une réunion du conseil d’administration d’une école du comté de Loudon, a révélé qu’il protestait contre la politique transgenre de l’école après avoir affirmé, avec son avocat, que sa fille avait été violée par un garçon transgenre de 14 ans dans les toilettes des filles.
Scott Smith, 48 ans, a déclaré au Daily Wire que sa fille, une élève de 15 ans du lycée Stone Bridge, avait été violée par le garçon le 28 mai. Il dit avoir été appelé par les responsables de l’école et s’être vu répondre qu’il y avait eu une « altercation physique ».
Après être arrivé sur place, il a appris qu’elle avait en fait été agressée sexuellement. Il dit que le personnel de l’école a dit qu’il voulait gérer la situation « en interne » et a choisi de ne pas appeler la police.
Après que Smith est devenu furieux et a contesté leur décision, les responsables ont appelé les adjoints du shérif du comté de Loudon.
« Je suis devenu fou. J’ai traité le principal de fiotte. Six voitures de police sont arrivées comme une ******* d’équipe du SWAT », a déclaré Smith, ajoutant qu’il avait « explosé de rage ».
Smith et l’avocat de la famille affirment qu’un kit de viol et d’autres tests prouvent qu’une agression sexuelle a eu lieu. Après avoir présenté les preuves à la police, une enquête a été ouverte.
« Dieu merci, j’ai attiré suffisamment l’attention sur cette affaire, sans me faire arrêter, pour qu’on nous escorte à l’hôpital et qu’on nous administre un kit de viol cette nuit-là« , a-t-il déclaré.
Deux mois après l’incident, le garçon a été arrêté pour sodomie forcée ainsi que pour d’autres chefs d’accusation, selon l’avocat de la famille.
Trois semaines après le viol présumé, Smith a assisté à une réunion du conseil scolaire le 22 juin, où une discussion sur une proposition visant à protéger les étudiants transgenres était à l’ordre du jour. Après avoir été traîné hors de la réunion, il a été ridiculisé sur les médias sociaux et dépeint par la gauche comme un bigot de droite antitrans.
Loudoun County dad Scott Smith dragged out of school woke board meeting & found guilty of disorderly conduct/resisting arrest reveals his daughter was 'raped' in the girls' bathroom by a 'skirt-wearing' boy who was arrested for a 2nd girl later. & School WOKE Board COVERED IT UP. pic.twitter.com/odjuzYniQz
— 🇺🇸Robert.N🇺🇸 (@Rob_Noorollah) October 13, 2021
The school covered up a crime. The justice system behaved in a flagrantly political manner. And the media was happy to participate in the politically-useful smearing, as usual. Morally appalling failures from top to bottom.
— Inez Stepman ⚪️🔴⚪️ (@InezFeltscher) October 13, 2021
La famille a créé un compte GoFundMe.
« Ma femme et moi sommes favorables aux gays et aux lesbiennes », a déclaré Smith au Daily Wire. « Nous ne sommes pas dans ces histoires d’enfants transgenres. La personne qui a attaqué notre fille est apparemment bisexuelle et porte occasionnellement des robes parce qu’elle les aime. Donc ce gamin n’est techniquement pas le sujet de la commission scolaire. Le fait est que les enfants l’utilisent comme un avantage pour entrer dans les toilettes. »
Une dissimulation ?
Lors de la réunion du 22 juin, Beth Barts, membre de la commission scolaire, a affirmé ne pas avoir connaissance d’agressions dans les toilettes ou les vestiaires pendant la discussion sur les élèves transgenres. Le surintendant Scott Ziegler s’est fait l’écho de ce sentiment en déclarant : « À ma connaissance, nous n’avons pas connaissance d’agressions dans nos toilettes », ajoutant que « l’étudiant ou la personne transgenre prédateur n’existe tout simplement pas ».
Il a poursuivi en citant une étude du magazine Time qui, selon lui, réfute l’idée que les enfants transgenres pourraient agresser sexuellement les enfants cisgenres, et a déclaré : « Je pense qu’il est important de maintenir notre point de vue sur ce sujet, nous l’avons entendu plusieurs fois ce soir de la part de nos intervenants publics, mais le prédateur transgenre, étudiant ou personne, n’existe tout simplement pas ».
Smith a déclaré qu’il s’est mis en colère. Il a commencé à se disputer avec une autre femme lors de la réunion, la traitant de « sa**pe » après qu’elle eut prétendument rejeté la demande de sa fille.
Il a ensuite été accusé de conduite désordonnée et d’avoir résisté à son arrestation. –Daily Mail
M. Smith a raconté au Wire qu’il avait été attaqué par une militante qui insistait sur le fait que sa fille n’avait pas été agressée, et qu’un officier s’était alors approché.
« La prochaine chose que je sais, c’est que je me fais toucher de partout. Je ne savais pas qui me touchait, qui m’attrapait. Je me retourne, les policiers m’attrapent et l’instant d’après, je suis plaquée au sol. Je suis juste choqué et horrifié », a déclaré Smith à Fox News mardi.
The Loudoun co case is THE biggest story in the country right now. Or at least it should be.
– school covered up rape for political convenience, kid went on to assault a second girl
– school board refused to hear father’s testimony and lied about there being no cases of assault— Inez Stepman ⚪️🔴⚪️ (@InezFeltscher) October 13, 2021
Délinquant récidiviste
Selon Epoch Times, le même garçon aurait, après avoir été transféré dans une autre école, été inculpé pour agression sexuelle en octobre après avoir été accusé d’avoir touché de manière inappropriée une jeune fille de 15 ans à Ashburn.
Parallèlement, Newsweek rapporte que le même garçon transgenre aurait fait l’objet d’une surveillance électronique ordonnée par le tribunal pour une précédente accusation d’agression sexuelle.
Un lycéen du comté de Loudoun, en Virginie, identifié par la police comme étant un homme et accusé d’avoir agressé une fille dans les toilettes de l’école alors qu’il portait une jupe, était apparemment sous surveillance électronique ordonnée par le tribunal pour une précédente accusation d’agression au moment de l’incident dans les toilettes.
On ne sait pas pourquoi l’élève a été autorisé à retourner dans l’enceinte de l’école, étant donné qu’il avait déjà été accusé d’avoir agressé sexuellement une autre élève dans l’enceinte de l’école cinq mois auparavant.
[…]
À l’époque, l’étudiant était déjà sous surveillance électronique par la police, car il était accusé d’avoir agressé sexuellement une jeune fille dans les toilettes d’un lycée d’Ashburn en mai, a déclaré Buta Biberaj, procureur du comté de Loudoun, à WTOP.
Plus d’informations via Epoch Times :
L’arrestation a fait l’objet d’une large couverture médiatique et a été citée par la National School Boards Association dans sa récente lettre adressée au président Joe Biden, l’exhortant à prendre des mesures pour lutter contre les incidents que la commission assimile au terrorisme national.
Quelques jours plus tard, le procureur général Merrick Garland a annoncé que les autorités fédérales cibleraient les personnes qui harcèlent, intimident ou menacent les membres des conseils scolaires et les autres personnes qui travaillent avec ou dans les écoles publiques.
Un porte-parole des écoles publiques du comté de Loudoun (LCPS) a déclaré à The Epoch Times dans un courriel qu’il était au courant des rapports concernant les agressions sexuelles présumées dans deux lycées du district et a refusé de fournir des détails. Cependant, le district a déclaré que le bureau du shérif a été contacté dans les minutes qui ont suivi l’agression précédente.
« Une fois qu’une affaire a été signalée aux forces de l’ordre, le CPS ne commence pas son enquête avant que les forces de l’ordre n’informent le CPS qu’elles ont terminé l’enquête criminelle. Pour préserver l’intégrité de l’enquête criminelle, les forces de l’ordre ont demandé au CPS de ne pas interroger les étudiants avant la fin de l’enquête », a déclaré le porte-parole.
« Le CPS a coopéré et continue de coopérer avec les forces de l’ordre. En outre, il est interdit au CPS de prendre des mesures disciplinaires à l’encontre d’un étudiant sans suivre la procédure de règlement des griefs prévue par le Titre IX, qui comprend l’enquête sur les plaintes de harcèlement sexuel et d’agression sexuelle. Le CPS impose des mesures provisoires pour protéger la sécurité des étudiants impliqués dans l’incident original, dissuader les représailles et préserver l’intégrité du processus d’enquête et de résolution. Le LCPS s’est conformé et continue de se conformer à ses obligations en vertu du Titre IX », a-t-il ajouté.
Le district a également déclaré que les membres du conseil scolaire n’étaient pas au courant des agressions avant cette semaine.
Le conseil d’administration a approuvé la politique favorable aux transgenres en août.
Texte: Aube Digitale
Publié le 15 OCTOBRE 2021